Transfert sans condenseur

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Le transfert "objectif dans objectif", en remplaçant l’optique du projecteur par un objectif de plus longue focale ou en utilisant une caméra spécifique
  • Ce forum contient 3 sujets et 14 réponses, et a été mis à jour pour la dernière fois par Daniel le le 7 juin 2025 à 23h59.
3 sujets de 1 à 3 (sur un total de 3)
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    • Comparaison de capture dans le flux et capture synchronisée Je fais part ci-dessous des avantages et inconvénients des deux méthodes, tels que je les ai ressentis de mon expérience personnelle. Ils peuvent être différents suivant d'autres attentes, d'autres compétences, d'autres moyens. Capture synchronisée: Avantages: - Satisfaction intellectuelle d'une solution élégante et de relever le défi  de synchroniser deux appareils a priori pas prévus pour ça. - Obtention directe d'un fichier comportant une image numérique pour une image argentique - Vitesse de capture maximale Inconvénients - Solution délicate et complexe réservée à des personnes ayant de bonnes connaissances en électronique - Coût des composants - Si la synchronisation en vitesse ne pose pas de problème, le réglage de la synchronisation de phase et de position est délicat et fastidieux Capture dans le flux Avantages - Solution très simple à mettre en œuvre - Solution économique Inconvénients - Fichiers de capture trois fois plus gros d'où nécessité de disque ou de carte mémoire plus coûteux (mais on n'est pas obligé de capturer d'un seul coup tout un film de longue durée) - Temps d'acquisition plus long - Nécessité de passer par une phase "décisaillement" des images Commentaires - J'ai toujours procédé à un premier passage du fichier de capture afin d'obtenir une image redressée et recadrée. Ajouter un décisaillement n'introduit donc pas  de facto d'étape supplémentaire - Le fait de travailler à plus faible vitesse n'a pas que des inconvénients, loin de là: Le temps de capture dans mon cas s'est révélé négligeable par rapport au traitement post capture, montage, bruitage, etc. Une vitesse plus faible sollicite moins le film et le matériel et surtout: lorsque le capteur a un certain temps de réaction  (comme c'était mon cas) lors de changement de luminosité entre deux rushes, il y a un certain nombre d'images perdues (mal exposées). Ce nombre est divisé par trois si la vitesse est divisée par trois CONCLUSIONS: Les deux méthodes ont leurs avantages et inconvénients. Chacun choisira en fonction de ses compétences, de ses aspirations et de ses moyens. Du point de vue qualité, les résultats sont à peu près identiques. Néanmoins je ne conseille de se lancer dans une capture synchronisée que si l'on a de solides bases en électronique. J'aurais été bien incapable de le faire tout seul et le réglage de phase et de positionnement était ce que je redoutait le plus dans mon projet V3.  

      Démarré par : Saint-Oblas

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    • le 7 juin 2025 à 23h59

      Daniel

    • Transfert avec un moteur pas à pas Bonjour ! Voici un de mes projecteurs sonore dernièrement modifiés (en cour de test). Moteur pas à pas contrôle (précis de la vitesse), roue codeuse pour le visuel 8.33 ou 16.67, amplificateur sonore dédié (Kit pré-ampli directement connecté sur la tête), lampe LED avec réglage manuel ou automatique avec LDR (en cour de test et affinage). Le résultat est de qualité grâce au logiciel "Studio Transfert". Je n'ai pas enlevé l'obturateur (3 pales). Le son sort correct à une vitesse de 8.33 (après mastering). Petite vidéo de présentation : https://www.midiamat.fr/VIDEOS/S8-Midiamat.mp4 A bientôt !

      Démarré par : Midiamat

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    • le 24 mai 2025 à 16h59

      Midiamat

    • Analyse d’un échec Je reviens sur la numérisation de mes films 8mm que j'avais entreprise avec mon banc de transfert à base d'Heurtier avec capture dans le flux (objet d'un tuto). La qualité n'était pas au rendez-vous et j'avais attribué cela, un peu trop hâtivement à la petite taille de l'image. Ce qui fait que je n'ai même pas essayé de recommencer l'opération avec la version 2 de mon banc de transfert. La comparaison avec quelques petits rushs Super 8 numérisés par Léon, a remis en question cette conclusion pas très raisonnée; - Dans les deux cas on avait quasi la même émulsion, du Kodachrome II quoique 25 ASA en 8mm et 40 ASA plus Wratten 85 pour le Super8. - La qualité de l'optique des caméras était sensiblement équivalente: optique monofocales Leitz pour le 8mm et zoom Angénieux pour le Super8 - L'âge des films était sensiblement le même à deux ou trois ans près La différence de qualité ne pouvait s'expliquer par la seule différence de taille des images. Alors je pense que les causes pouvaient en être les suivantes: - numérisation du film côté support et non côté émulsion, donc à travers le support. Le problème ne m'avait pas interpelé car je n'avais pas constaté de dégradation majeure lors de numérisations effectuées ainsi par mégarde de mes diapos 24x36 ou 6x6. Mais le rapport épaisseur/taille de l'image est sans commune mesure pour le film et les diapos - mauvaise mise au point qui doit être parfaite avec un aussi petit format. - diffuseur de lumière placé beaucoup trop près et dont on voit le grain. Au début je pensais que c'était le grain du film, mais j'en doute car il est fixe d'une image à l'autre. Je pense que les deux derniers problèmes auraient pu être facilement corrigés.  Pour le premier il eu suffi de retourner le film tête-bêche (en commençant par la dernière image. Un simple clic dans Edius remet le film à l'endroit

      Démarré par : Saint-Oblas

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    • le 2 mai 2025 à 20h26

      Saint-Oblas

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