Les versions de StudioTransfert sont testée avant diffusion à partir d’une base importante de 95 films argentiques et de 12 vidéos numériques de de toutes provenances, d’origines amateurs et professionnelles, de qualité excellente à médiocre représentant un panel exhaustif de tout ce que l’on peut rencontrer :
- Format argentiques: 8mm, Super8, Single8, 9,5mm, 16mm de Kodak, Agfa, Gevacolor, Fuji …
- Couleur ou noir et blanc,
- Sonore ou muet,
- Vitesse de tournage avec la caméra d’origine : 16 images/seconde, 18, 24, 25 ou autres,
- Formats : HD, SD, qHD en Pal ou NTSC,
- Proportions 4/3 et 16/9,
- Cadrage de l’image approximatif ou exact.
Les films argentiques ont été capturés en numérique avec un système de transfert asservi (1 image film pour 1 image capturée) ou dans le flux de la projection (1 image film pour 3 image capturées), avec un télécinéma ou un banc à condenseur ou encore un banc OdO (Objectif dans Objectif). Le capteur opérait en balayage progressif ou entrelacé (TFF ou BFF), et a délivré des fichiers vidéo aux formats avi, mpg, mp4, mts, m2ts ou mov.
Les vidéos sont d’origine numérique MiniDV, Hi8, … ou analogique VHS numérisées.
StudioTransfert traite tous ces cas et, au choix de l’utilisateur, redresse l’image, recadre, reformate, traite et synchronise le son, modifie les couleurs et la tonalité, retire les rayures et les taches, accentue la netteté, stabilise et interpole les images pour retrouver un mouvement naturel, et enfin compresse les fichiers pour délivrer un film parfaitement restauré prêt à être monté.
La restitution des images peut être réglée à 25 images/seconde ou 50 pour PAL ou 29,97 ou 59,94 pour NTSC.
Avec un peu d’adresse pour réaliser le banc de transfert, et après une petite prise en main du logiciel StudioTransfert, vous allez pouvoir tirer le meilleurs parti de vos films et obtenir ce qui se fait de mieux même avec des équipements professionnels. On trouvera à la fin de la page Numériser et restaurer les films argentiques toutes les informations sur un système de transfert numérique OdO de qualité et sur le logiciel StudioTransfert, ainsi que des exemples d’images extraites de films traités.
Jean Ceretti
